« Mono no aware » est un concept esthétique et spirituel japonais, utilisé par Motoori Norinaga dans son interprétation du Genji monogatari. Il est l’esprit du aware (émotion nostalgique) découvert dans le mono (choses, objets), une « poignante mélancolie des choses ».
Au moyen de fumigènes colorées, Roman Moriceau conserve sur le papier l'empreinte de fleurs avant leurs disparitions.